Chauffage Ventilation Climatisation

Innovation et indépendance

Il existe des solutions sobres, de bon sens et rentables pour diminuer la consommation énergétique de chauffage et de climatisation des locaux tertiaires et des sites industriels. Faire appel à Clever Energies pour un projet CVC, c’est s’assurer que tous les aspects du projet sont pris en compte et en particulier le confort des occupants. C’est aussi bénéficier de l’expérience d’un Directeur Technique qui a défini et mis en œuvre des projets de réduction des consommations énergétiques dans l’industrie et qui partage les bonnes pratiques enrichies de la réalité du terrain. Ensemble avec les ingénieurs de Clever Energies, identifions et concrétisons vos gisements d’économies d’énergie prioritaires !

  • Bilan énergétique de l’existant.
  • Diagnostic des usages et du confort perçu.
  • Identification, hiérarchisation, dimensionnement et budgétisation des améliorations CVC préconisées, fournies-posées.
  • Chiffrage et obtention des CEE éventuels dans le respect du formalisme administratif.

Enjeux du CVC dans le tertiaire et l’industrie

  • Dans le tertiaire, le chauffage est le principal usage (43 %) de la consommation finale énergétique. 
    Le gaz naturel représente 52 % de l’énergie employée pour le chauffage tertiaire, devant le fioul et l’électricité (19 % chacun). (Source CEREN 2020) 
  • Dans l’industrie, la consommation finale à usage énergétique est dominée en 2019 par le gaz (38 %) et l’électricité (36 %). 
    C’est l’électricité qui représente plus de la moitié de la dépense totale (58 %) dans la consommation énergétique industrielle, tandis que la facture du gaz naturel en représente près du quart (24 %), et ce alors que ces deux énergies ont une part presque identique dans la consommation finale énergétique. (Source SDES 2021)
    Dans l’industrie, 36 % des combustions sont inexploitées, dont la moitié à plus de 100°C. Cette chaleur non récupérée, issue d’un processus de production, est appelée « chaleur fatale » et représente un enjeu énergétique majeur. La moitié de ce gisement de chaleur fatale concerne l’industrie agro-alimentaire et l’industrie chimique. (Source CEREN 2020)
  • Enfin le froid consomme quant à lui près de 15 % de la consommation d’électricité dans les secteurs industriels et tertiaires. (Source CEREN)

Compte tenu de l’évolution du prix des énergies en France, optimiser le CVC est un enjeu économique majeur pour toute entreprise tertiaire ou industrielle. L’étude impartiale de Clever Energies assure la neutralité du conseil et permet de concrétiser des gisements d’économies d’énergie par les opérations suivantes, pilotées, suivies et maintenues après les travaux :

Déstratification

Déstratification : En industrie et dans le tertiaire, dans les bâtiments chauffés ayant une hauteur sous faîtage supérieure à 6m, l’air chaud, moins dense que l’air froid, stagne au plafond si l’air n’est pas brassé. Plusieurs solutions techniques existent pour harmoniser la température globale du volume et récupérer ces calories gaspillées en hauteur, en tenant compte des conditions de travail sur site et des particularités du bâti.

Récupération de chaleur fatale

Récupération de chaleur fatale : La chaleur de récupération (ou chaleur fatale) est la chaleur générée par un procédé dont l’objectif premier n’est pas la production d’énergie et qui de ce fait n’est pas nécessairement récupérée. Capter puis transporter cette chaleur, qui serait perdue, pour favoriser son exploitation sous forme thermique permet de valoriser l’énergie fatale gaspillée – pour typiquement chauffer des locaux connexes, ou encore contribuer aux opérations de séchage ou de préchauffage. Les sites industriels, les hôpitaux ou les datacenters sont des candidats pertinents à la récupération de chaleur fatale. Par exemple, lors du fonctionnement d’un four, seulement 20 à 40 % de l’énergie du combustible utilisé constitue de la chaleur utile, soit 60 à 80 % de chaleur fatale potentiellement récupérable. 

Refroidissement Adiabatique

Rafraichissement adiabatique : Portées par la multiplication des épisodes caniculaires et l’exigence de confort d’été de la réglementation environnementale RE2020, des alternatives techniques à la climatisation - gourmande en électricité et sujette aux dispersions de fluides frigorigènes régulés par la réglementation européenne F-GAZ – se déploient dans le tertiaire et les sites industriels. Les systèmes adiabatiques, pour le rafraichissement (sans garantie de température intérieure), ou le refroidissement (visant le maintien d’une température cible à +/- 1 °C), reposent sur le principe naturel et ancien de l’abaissement de la température de l’air chaud en contact avec de l’eau qui s’évapore. Simples d’entretien, sans fluide frigorigène, sobres en énergie, compatibles avec l’eau de pluie, les systèmes adiabatiques, généralement installés en toiture, sont configurés pour éviter tout risque de légionnelle et d’humidification de l’air ambiant et permettent de réduire les consommations de froid, typiquement dans les bureaux, les équipements sportifs et les sites industriels.

PURIF'AIR

Traitement de l’air : Les enjeux sanitaires et économiques liés à la qualité de l’air intérieur sont majeurs – et la pandémie de COVID-19 en est une tragique illustration. La surveillance de la qualité de l’air est déjà obligatoire pour les établissements recevant un public sensible, comme les écoles. Des solutions existent aujourd’hui pour non seulement purifier l’air, mais aussi les surfaces et surtout protéger les individus entre eux des contaminations liées aux virus. La technologie de photo-hydro-ionisation permet en effet de charger l’air en oxydants naturels, inoffensifs pour les êtres vivants, qui éliminent activement les virus, bactéries dans l’air et sur les surfaces. Testée contre le SARS-Cov-2 et un large spectre de virus, bactéries et polluants aux Etats-Unis par les laboratoires Innovative Bioanalalysis et Biosecurity Research Institute, cette technologie a été validée en France par Eurofins à la demande de Clever Energies pour son efficacité dans la suppression active de formaldéhyde dans l’air.